Lyam ♛ Douces flammes dangereuses

**Lyam KEITH**

Lyam KEITH
Blue Fire Demon

Nom & Prénom(s) ⚜ KEITH Lyam
Sexe ⚜ M
Age ⚜ 18 cerises
Nature ⚜ Démon
Pouvoir ⚜

Gang ⚜ Ouroboros
Ancienneté ⚜ Là depuis le début, très cher.
Autre ⚜ Second Ouroboros

PHYSIONOMIE ⚜

Une apparence soignée.
Il aime être vêtue convenablement et être à la mode. Un look simple, peut-être un peu punk ou rock par moment, mais rien de tape à l’œil. Plutôt classe avec un certain charme, c’est un garçon qui n’hésitera pas se mettre en avant. Non qu’attirait l’attention ne lui plaise, bien au contraire, mais Lyam adore la mode plus comme une passion. De plus, il a chance de pouvoir se vêtir de n’importe quelle façon car tout lui va. Du kimono au costume, tout, bien qu’un jean, une chemise et une veste lui convienne tout à fait. C’est comme les lunettes qu’il porte alors qu’il n’en a pas besoin.
Un corps appréciable.
Une silhouette svelte et mince, androgyne. Des jambes longilignes et finement musclées. De longs doigts fins ornés d'une bague par moment. Un ventre plat et quelques abdominaux qui se remarquent, mais sans plus. Une peau des plus pâles, douce comme la soie et sucré qui accentue son corps bien mesuré. Sur ce corps vous verrez, dans le cou, un lys blanc tout en longueur ainsi qu’un signe tribal dans le bas du dos. Du haut de c'est seulement un mètre soixante-quinze, il n'a pas encore fini de pousser. Pour un poids de cinquante kilogrammes, trop juste, mais qui lui convient tout à fait, ne comptons pas prendre un kilo. Ajoutons, qu’il ne mange pas très équilibrée et seulement lorsqu’il à faim, c’est-à dire toujours en dehors des repas.
Un visage enchanté.
Un doux visage angélique qui en a attiré plus d’un dans les filets du jeune homme qui n’hésite pas une seule seconde à se servir de ce dernier. Une bouche nacrée orné la plupart du temps d’un sourire narquois ou d’un rictus boudeur. Un nez légèrement retroussé finement sculptés qui s’accorde sans trop de problème avec le reste. Des pommettes ni trop haute ni trop basse qui rosit facilement, bien qu’il soit l’as dans le fait de cacher ces dernières par des mèches rebelles bien accueillit dans ces moments-là. Vous remarquerez aussi que ces oreilles sont cachés, mais les rares fois où vous les verrez vous remarquerez qu’elles sont étrangement pointues. Dernier détail qui ces oreilles sont très sensible, un point faible en quelque sorte.
Un regard noyé.
Deux grands yeux d'une couleur profonde. Il vous donne une impression de noyade dans un océan des plus lointains. Comme si ses yeux si pétillant et doux voulait vous emportait dans son monde. Des pupilles d’un bleu aussi foncé que clair, qui illumine son visage d’un éclat de saphir plutôt agréable. Son regard est avant tout provocateur voir arrogant bien qu’en profondeur vous y verrez une douceur particulière. Glacial tout comme son caractère ou du moins l’apparence qui en sort, ils sont d’une couleur s’accordant à ces mèches.
Un air de bataille.
Ses cheveux ! Mais quelle histoire il a avec ces derniers ! Ils sont sans aucun doute beau et agréable à toucher, mais qu’est-ce qu’ils sont pénibles. Pour les coiffer… et bien en dehors des coiffeurs professionnels, il n’y a rien à faire, sauf si mettre un pot de gel est une solution pour vous (pour lui non), donc la question ne se pose plus. Il se contente de faire du mieux qu’il peut tout seul et plus d’une fois c’est avec une étrange coiffure qu’il sort du lit. Des mèches indomptables d’une douce couleur virant du bleu nuit au noir et du noir au bleu nuit. Des cheveux doux qui lui arrive dans le bas du cou et qui malgré tout, il apprécie et prend soin.

MORAL ⚜

L’ange des démons.
Plutôt rire que pleurer. Plutôt tuer qu’être tuer. Plutôt être le chasseur que le chasser. Tant de phrase caractéristique de ce bonhomme ! Vous voulez le connaitre, alors lançons-nous, vous n’allez pas être déçu car ce garçon est presque une contradiction à lui seul…

L’ironie même de l’arrogance.
Non qu’il ne soit prétentieux, bien loin de là, il est ironique. Que se soit en humour ou simplement en réponse, toujours de l’ironie pointée d’une arrogance insupportable. N’allait donc pas lui poser des questions idiotes car vous risquez de vous en mordre les doigts, si vous ne l’avez pas frappé avant ! Et si l’idée vous tente toujours, vous risquez d’avoir face à vous quelque de moqueur en plus de cela.
Un vent de glace sur vos têtes.
Pourquoi au grand pourquoi, est-il aussi froid, aussi distant aux premiers abords ? Vous vous le demandez ? C’est bien simple, c’est une protection. A chacun sa carapace. Certain se referme, d’autre préfère vous ignorer ou vous envoyez sur les roses. Et bien lui, il a choisi de tenir ces distances avec chacun. Le mot confiance n’étant en plus, pas un mot qu’il vous faudra dire à la légère en sa compagnie et avant d’être en sa compagnie, il vous faudra prendre sur vous pour ne pas craquer à cause de ces aires de garçon froid et arrogant.
Une langue fourbe et rusé.
La langue dans sa poche. Vous connaissez cette phrase ? Et bien lui, il ne l’a que quand sa l’arrange. Si vous le gonflé, il vous le dira. Si vous êtes lourds, idiots, c’est identique. Mais ce n’est pas le pire. Cette langue est une manipulatrice finie, comparable à renard. La plupart du temps, il obtient ce qu’il veut grâce à celle-ci et vous fait passez pour le plus grand des imbéciles tout en s’amusant de vous. Oui, embêter, taquiner, il adore, mais c’est une chose que vous ne remarquerez qu’une fois sa carapace franchie.
Une façon de voir les choses bien à lui.
C’est un garçon qui aurait sans doute pu se lancer dans des études littéraire avec l’option philo. Un brin tordu, sa manière de pensée suit le même chemin. Alors qu’une chose sera évidente à vos yeux, se ne le sera pas pour lui et des questions, nombreuses, il se posera. Mais l’inverse est aussi vrai. Les choses évidents pour lui, ne le sera pas obligatoirement pour lui. C’est comme manger. Il ne mange que quand il a faim : normal quoi. Les repas pour lui, c’est une chose idiote. Pourquoi se forcé à manger à telle heure alors que vous n’avez pas faim ?
Scrupule et pitié aux oubliettes.
Si vous comptiez l’amadouer avec une bouille d’ange et un beau compliment, vous vous foutez le doigt dans l’œil bien profond. Il n’a aucun scrupule et ne prends que très rarement les gens en pitié, pensant que cela ne sert à rien et n’aidera pas la personne, bien au contraire celons lui. Alors, ne compter pas jouer à ça avec lui, a part si vous entez qu’il est d’humeur taquine alors là… c’est autre chose.
Une sensibilité trop affirmé.
Et oui ! Derrière ces aires de garçon glaçon, c’est un grand sensible qui n’hésitera pas à vous aidez si besoin et vous pourrez être sur que ce ne sera pas de la pitié. Altruiste ? Sans doute. C’est pourtant une chose rare, mais c’est ainsi. Aider les gens, même s’il ne les connait pas est dans sa nature. Et, si vous n’êtes pas ses ennemis, il n’aura aucune raison d’être méchant. Doux et attentionné son deux mots qui vont de pairs avec lui.

Pour faire simple, prenez votre patience avec Lyam et il vous sera reconnaissant. Le brusqué risque de vous faire atterrir à l’hôpital avant même que vous n’ayez eu le temps de dire « ouf ».
Dangereux démon aux flammes bleus d’apparence, mais la gentillesse d’un ange au fond.

HISTOIRE ⚜

Lyam KEITH, enfant cadet d’une famille de trois enfants. Une fille, l’ainé : Yuna. Et son jumeau, de quelques minutes son ainé : Nathaël. Issu d’une famille religieuse anglaise. Il fut donc baptisé très tôt au côté de son frère. L’église avait un rôle important pour les parents, mais très vite, le jeune Lyam trouva ennuyeux d’aller à des messes et de prier, bien qu’il adorait se rendre à l’église et s’assoir, observer les détails, la finition de la pierre, les vitraux et les lumières colorées de ces dernières. Oui, il était comme envouté par l’architecture des églises gothiques. Mais passons…
Son enfance fut relativement calme, bien que les hauts et les bas entre leurs parents fussent de plus en plus nombreux. Le moment d’aller à l’école arriva vite et il intégra une école primaire privé où l’uniforme était obligatoire. Imaginait un petit Lyam, haut comme trois pommes, des cheveux cendres en bataille, d’incroyables yeux bleus et un visage adorable dans une chemise blanche avec pull noir muni d’une cravate rouge de son école, un short noir et des chaussures noires ?! Au début, sa passe, mais vite sa gonfle ce petit bout qui ne souhaite qu’une chose s’habiller autrement. Déjà mignon pour seulement six ans, en clair, ça vous annonce rapidement la couleur de la suite à venir… A l’inverse, Nat’ a toujours fait comme le voulait les parents : l’enfant modèle comme disait déjà Lyam ou le bigleux… Car la chance étant pour une fois du côté du plus jeune, il n’avait point besoin de lunette. Les années passaient doucement, tranquillement. Leur sœur de 6 ans leurs ainés suivait un mouvement que ni les parents, ni les frères ne pouvaient suivre. Génie, la jeune Yuna, partit en Australie pour ces études. Quand à Lyam et Nat’ ? L’un travaillait d’arrache pied pour obtenir des notes correctes et plaire au adultes, l’autre obtenait de bon résultat s’en vraiment chercher à en ramasser et passant le plus clair de son temps on ne sait où dans Londres et ces environs.
Ce fut lorsqu’il atteint ces onze ans, l’âge de rentrer au collège que leur mère décida de partir, les laissant au bon soin ou plutôt mauvais soin de leur père. Ce dernier aurait de loin préférait qu’elle emmène ces gamins avec elle, mais non, elle était partit du jour au lendemain, disparaissant de la circulation. De plus, Yuna, alors âgé de seize ans, ne comptait pas revenir de si tôt, mais ce qu’il ne savait pas, c’est qu’elle était déjà à Genetic à ce moment-là et que le génie qu’elle était avait abandonné ces études en Australie pour apprendre à maitriser ces étranges pouvoirs.

La vie est parfois dure.

Il rentra en sixième dans un collège public, non qu’il ne souhaitait plus porter l’uniforme, bien que ne plus en avoir l’arrangé grandement, mais à cause de son père. Ancien écrivain, oui ancien et pourtant il aurait pu faire une bien plus longue carrière, mais le départ de sa femme l’avait tué moralement et plus rien de bon ne sortait de son esprit et du stylo de l’homme qui se plongea dans l’alcool, passant ces journées dans son bureau, les volets fermés. Il fallut donc que les deux jeunes adolescents se débrouillent seul, chose qu’ils firent. Mais, plus le temps passait, plus l’état de leur père fut désastreux. Alors que Nat’ s’occupait de leur père avec l’aide de Lyam, ce dernier se concentra sur la recherche de leur sœur et leur mère, cherchant de l’aide auprès d’une famille qui refusait catégoriquement de leur venir en aide. Bien que peu soudé, une famille se doit pourtant de s’entraider, mais il en était autrement pour eux… La raison ? C’était bien un mystère et au plus loin que les souvenirs du garçon remontent, il n’a jamais eu la chance de parler plus d’une fois avec ces grands-parents, quand aux cousins, Lyam n’avait pu leur parlé qu’au téléphone et il gardait un très mauvais souvenir du tour qu’avait pris la conversation. Pourquoi, mais au grand pourquoi refusaient-ils tous de leur venir en aide ? Surtout qu’ils en avaient bien besoin de cette aide. Après tout, il n’était que deux garçons âgé de seulement douze ans à ce moment-là et se débrouiller seul, n’était en rien une chose facile. Surtout au niveau de l’argent… qui commençait à manquer. Lyam remarqua très tôt que quelque chose clochait chez lui, mais ne chercha pas à savoir quoi. Lorsqu’il était triste ou en colère, il avait l’impression de brûler à l’intérieur et une fois, il cru même voir dans son reflet et son regard, une flamme bleu… Mais aussi vite apparut, elle disparut. Le pire, c’était lorsqu’il était mêlé au bagarre, ce qui arrivait de plus en plus régulièrement, l’impression de pouvoir lire en l’esprit et deviner le prochain geste ou coup de son adversaire se faisait sentir et plus d’une fois, ça le sauva. Mais pourquoi se soucier de ce genre de chose étrange lorsque tout part en vrille et que cela ne semble pas s’arranger. Un jour, ce fut les flics qui débarquèrent chez eux, leur père menotté et en sang. On disait qu’il avait peut-être tué, c’était battu et qu’il était soul, pour changer tiens ! Lorsqu’ils demandèrent aux enfants où était la mère, Nat’ préféra baisser les yeux, laissant son frère déballer ce qui devait être dit. Lyam s’occupa donc de répondre au policier, qui remarqua l’état dans lequel vivaient les enfants. Il était vrai que depuis le départ de Talya, tel était le nom de leur mère, ils avaient du déménager dans un… une sorte d’appartement, pour ne pas dire un taudis qui ne ressemblait pas à grand-chose. Nat’ et Lyam avait eu la force de continuer à aller au collège et chacun avait trouvé un moyen de rapporter de l’argent. Nat’ s’occupant de tâche ingrate dans des magasins bas de gamme entre autre et Lyam avait décidé de faire des courses, en clair de passé la drogue du fabricant au vendeur, et du vendeur à l’acheteur, n’en consommant pas bien évidemment. L’argent qu’il rapportait allait d’abord à la bouffe, aux fringues et au loyer du taudis. Le reste, quand il en restait, il se le partageait entre eux. Nat’ était resté malgré tout un gamin innocent, peureux et peu confiant en la vie, mais qui avait une confiance absolue en son jumeau. Quand à ce dernier, il s’était lui-même donné la responsabilité de protéger son frère, devenant une personne renfermé, froide et forte autant moralement que physiquement, bien qu’il restait trop sensible et doux. Oui, la vie n’était pas facile, mais il se devait de survivre. Comme le disait si bien les garçons : il est plus facile de se laisser mourir que d’affronter la vie en face et survivre avec courage.

Le temps passa peu à peu et le malheur tomba une fois de plus sur eux, à croire qu’ils attiraient ennuis et problèmes comme deux aimants. Ce qui leur tomba dessus ? La mort de Rick, leur père. Et là, on pouvait dire que c’était un problème. Ils auraient pu retrouver leur mère, mais là aussi il y avait un bémol : celle-ci avait refait sa vie et avait un enfant de deux ans. Deux ans ? Oui, ça vous explique facilement que Talya trompait déjà son mari avant de partir. A qui allait-il être confié ? Ils furent pris en charge par des assistants sociaux et furent confiés à une première famille écossaise. L’Ecosse, ça change de l’Angleterre et pourtant, le jeune Lyam s’y sentait mieux que dans son pays natal. Là, les deux enfants : car oui, ils avaient la chance de ne pas être séparé, comme quoi elle ne leurs avait pas complètement tournée le dos et abandonnée, purent reprendre une vie normal. Sauf que Lyam c’était attaché au boulot qu’il faisait pour gagner de l’argent et il continua en se cachant dans sa nouvelle ville. Treize ans, puis quatorze ans. Deux ans de vie banal, normal et sans trop de soucie. Avec bien-sûr des prises de têtes, mais quoi de plus normal ? Le collège ne fut un problème pour aucun des garçons jusqu’à ce jour, qui déclencha une bombe à retardement en Lyam. Lors d’une énième bagarre au collège, car cela restait dans les habitudes du jeune brun de répondre par les poings plutôt que par les mots ou la raisons. Nathaël fut pris pour cible et c’était la chose à ne pas faire : s’en prendre à Lyam est une chose et il se contentera de vous tabassez, mais toucher à Nat’ c’est très dangereux et c’est un terrain miné. Un adolescent d’âgé environ seize ans, viril, beau, bad boy, mais idiot à souhait : Eric. Il frappa Nat’ qui se tenait à l’écart, priant comme à son habitude Lyam d’arrêter de se battre. Le sang du brun ne fit qu’un tour et il vit rouge ou disons bleu vu la tournure des événements. Plus un bruit, pas un pas. Juste un geste. Il serra les poings et ce fut comme une tornade de feu, magnifique, mais brûlante. Dansante dans les yeux bleus du collégien et se répercutant sur le pauvre Eric. Des flammes bleues. Lyam était hors de contrôle et rien que son apparence annonçait la couleur de la suite. Dans ces yeux bleus brillaient une folie naissante meurtrière. Ces cheveux, chose d’autant plus étrange c’était allongés et il en était de même pour ses canines. Et là, ce fut la réaction. Des cris ou plutôt des hurlements. Eric brûlait prit dans une tempête de flammes bleues alors que ces amis, trois abrutis hurlaient à la mort, un tombant dans les pommes. Et Nat’ qui restait sans bougeait, comme envouter par cet étrange pouvoir qu’avait éveillé son jumeau. Il ressentait la haine de ce dernier et sans peur, avec la simple pensée que rien ne pourrait lui arriver, il s’approcha de Lyam et l’entoura de ces bras. Ce simple geste sembla refaire prendre conscience au garçon sensible et doux qu’il était. Mais à peine eut-il le temps de revenir les pieds sur terres et de voir le spectacle ahurissant qui s’offrait à lui, qu’il sombra dans l’inconscience retombant sur l’épaule de son jumeau.

Un sourire de chance.

Son réveil ne se fit qu’une semaine plus tard et en une semaine sait-on qu’il peut s’en passer des choses. Il n’était pas au collège, encore moins chez sa famille d’adoption, mais dans un endroit inconnu. Le démon pensa alors à un hôpital, mais ce n’était pas blanc et le lit était bien trop confortable. Il tourna la tête et rencontra un regard qui l’effraya autant qu’il l’hypnotisa. C’était comme s’il avait à faire à un homme ou une étrange lueur de folie mêlé à une grande intelligence et un savoir immense, mais percé d’un quelque chose qu’il ne put identifier, bien que maintenant il sait ; c’était de la mélancolie mélanger à de la haine, mais de quoi ? L’homme lui parla alors. De ce qu’il avait fait, de ce qu’il était lui, son frère, sa sœur et leur père décédé. Puis de Genetic, des autres races, de ses découvertes, ces créations, des gangs et il finit par lui annoncer que ça place était ici, à ces côtés. Lyam ne coupa jamais la parole, mais quand il sentit qu’il pouvait parler, il le fit et sa première phrase fut pour son frère. Kira, car c’était lui, lui annonça que Nat’ était ici lui aussi et qu’il en était de même pour sa sœur ainé. Ce fut de cette manière là que les deux jeunes bruns arrivèrent à Genetic, mais une chose reste secrète à Lyam : la semaine ou il est resté inconscient, son frère refusant de le lui dire.

Lyam ♛ Douces flammes dangereuses

Lyam ♛ Douces flammes dangereuses

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